VENDREDI 19 OCTOBRE
BAR LE CHAPERON ROUGE
Lac du Saut du Loup
MIRAMONT DE GUYENNE
BAR LE CHAPERON ROUGE
Lac du Saut du Loup
MIRAMONT DE GUYENNE
INTERLOPE (Break Beat - Drum'n Bass / Paris)
Enfin ! Deux ans et demi qu’ils rongeaient leur frein à La Défense à étudier scrupuleusement le marché du breakbeat et ses modalités de pénétration par les remix et les compilations ! En 2007, le duo Interlope nous livre le fruit de la fusion du groupe Rimshot et du consortium Dragongaz (alias Greg Heuze et Chris Borca).
Quelques repères pour nous faire une idée de leur parcours : L’un, toujours premier en mathématiques, diplômé d’H.E.C. et de Polytechnique puis de l’Ecole des Mines, dirige actuellement 24358 personnes dont 423 cadres… L’autre, après de brillantes études de droit international et L’E.N.A. , est entré en 1993 au cabinet de Notek Associate (successivement conseillé municipal, vice président du conseil général, ministre délégué à la politique monétaire), il siège aujourd’hui au conseil d’administration de plus d’une vingtaine d’entreprises européennes… Ils ont respectivement 75 et 80 ans et ramasser un maximum de fric leur procure toujours autant de plaisir.
Et voila qu’on les accuse de fricoter avec l’Underground ! Tout ça parce qu’ils tripotent quelques boutons et autres faders dans des soirées peu recommandables et qu’ils sont amis avec Reno G., membre fondateur de la multinationale Expressillon. Ils semblent de plus entretenir des relations douteuses avec SK alias Meyer Rothchild, le célèbre visionnaire américain, rencontré lors d’un séminaire sur le Amen Break… (ils se trouvaient sur la même liste d’invités et firent vite plus ample connaissance). Le soir, dans l’ambiance feutrée du bar de l’hôtel, après quelques Black Russians et moult bouffées de Mouton Cadet, SK les initia à la pratique des Petits Arrangements entre Amis, infaillible pour s’enrichir encore plus vite, quitte à s’affranchir des cadres légaux, voir en soudoyant ceux qui les fixent…. (Pour acheter un homme qui détient un pouvoir, il faut trois conditions : Un, s’assurer qu’il est achetable et y mettre le prix. Deux, lui assurer une discrétion absolue et totale. Trois, lui supprimer tout remord éventuel en lui suggérant très habilement qu’il agit dans l’intérêt de son pays.)
Pendant que certains exposent leur nouvel ordre mondial, le duo persiste en publiant sans fioriture début Mai un recueil énergique de préceptes digitaux pour arrangements en tout genre. A découvrir en conférence publique...!
BLEUBIRD (Electro Hip Hop - Post Rap / USA)
A force de défier les fuseaux horaires en parcourant la planète en long en large et en travers, Bleubird a pris une longueur d’avance sur ses contemporains du hip hop. Coiffant autant la casquette du slameur que du mc, l'américain place la libre expression et le militantisme au coeur de ses propos. Evoluant seul sur scène, mais armé d'un flow imparable et d'un humour dévastateur, il sait captiver le public..., parfois même en réalisant d'étranges cascades...
Bleubird avance sous l’impulsion d’une seule idée : faire progresser le hip hop vers de nouvelles directions, comparables à celles que prennent Sole, Alias, ou encore Buck 65.
Rares sont les occasions d’exprimer, à grands renforts de hochements de tête, votre délectation devant un MC gonflé d’autant d’optimisme et d’amertume à la fois. En une rime, il endosse la verve politique de Noam Chomsky, la langue verte de 2 Live Crew et la fragile sentimentalité émanant d’un journal intime de fillette. Raf katigbak (Montreal Mirror)
En cette ère gangrenée par la guerre, la confusion et l’inertie, Bleubird débarque avec fracas, sans entraves, sans prévenir. Brandissant haut l’étendard de la rébellion, de l’intégrité et de la libre expression de soi, sa musique s’impose comme le reflet d’une existence menée au sein de la lutte; comme la bande-son d’un artiste qui s’évertue à nager à contre-courant sans perdre pied ni vendre son âme. Dissimulée derrière un masque d’étrangeté, la vraie nature de Bleubird apparaît limpide, tout à coup. C’est un homme qui n’a pas hésité à sacrifier sa vie sentimentale et sociale, sa stabilité au profit de la mission musicale dont il est investi. Il aime sa famille, craint pour son pays en perdition et parle de Dieu au féminin. Sonya Tomlinson (Portland Phoenix)
Vibrant de passion et d’intensité sur scène, ce drôle d’oiseau continue à écumer les salles de concert aux Etats-Unis, au Canada et en Europe. Les yeux toutefois rivés vers le Japon et l’Australie, où il compte bien se produire l’année prochaine. Il mène une éternelle vie de bohème, constamment sur la route, avec pour seul point d’ancrage Montréal (son lieu de résidence), où il fait escale pour enregistrer et s’adonner à une kyrielle de petits boulots en tant qu’homme-à-tout-faire professionnel. Puisant son inspiration dans un vécu plutôt haut en couleurs et dans une éthique de travail inébranlable, il cherche à faire réagir et à divertir des publics de tous horizons.
Il est animé par les sons progressifs, les idées progressistes et un besoin de changer les choses; il travaille aussi bien à partir de samples qu’avec des musiciens de chair et d’os venus des quatre coins du monde pour continuer à pousser la musique hors des sentiers battus. Bleubird est un rappeur, mais c’est surtout une sorte de rencontre au sommet entre Abbie Hoffman, Jello Biafra et Propaghandi... rappant, respectant la tradition tout en faisant fi des limites qu’elle impose, trahissant par un baiser. Un spectacle aux accents provocateurs, plein d’humour et de satire sociale, le tout concassé en vrac dans un paquet mal ficelé mais débordant de finesse et d’une indéniable énergie !
Quelques repères pour nous faire une idée de leur parcours : L’un, toujours premier en mathématiques, diplômé d’H.E.C. et de Polytechnique puis de l’Ecole des Mines, dirige actuellement 24358 personnes dont 423 cadres… L’autre, après de brillantes études de droit international et L’E.N.A. , est entré en 1993 au cabinet de Notek Associate (successivement conseillé municipal, vice président du conseil général, ministre délégué à la politique monétaire), il siège aujourd’hui au conseil d’administration de plus d’une vingtaine d’entreprises européennes… Ils ont respectivement 75 et 80 ans et ramasser un maximum de fric leur procure toujours autant de plaisir.
Et voila qu’on les accuse de fricoter avec l’Underground ! Tout ça parce qu’ils tripotent quelques boutons et autres faders dans des soirées peu recommandables et qu’ils sont amis avec Reno G., membre fondateur de la multinationale Expressillon. Ils semblent de plus entretenir des relations douteuses avec SK alias Meyer Rothchild, le célèbre visionnaire américain, rencontré lors d’un séminaire sur le Amen Break… (ils se trouvaient sur la même liste d’invités et firent vite plus ample connaissance). Le soir, dans l’ambiance feutrée du bar de l’hôtel, après quelques Black Russians et moult bouffées de Mouton Cadet, SK les initia à la pratique des Petits Arrangements entre Amis, infaillible pour s’enrichir encore plus vite, quitte à s’affranchir des cadres légaux, voir en soudoyant ceux qui les fixent…. (Pour acheter un homme qui détient un pouvoir, il faut trois conditions : Un, s’assurer qu’il est achetable et y mettre le prix. Deux, lui assurer une discrétion absolue et totale. Trois, lui supprimer tout remord éventuel en lui suggérant très habilement qu’il agit dans l’intérêt de son pays.)
Pendant que certains exposent leur nouvel ordre mondial, le duo persiste en publiant sans fioriture début Mai un recueil énergique de préceptes digitaux pour arrangements en tout genre. A découvrir en conférence publique...!
BLEUBIRD (Electro Hip Hop - Post Rap / USA)
A force de défier les fuseaux horaires en parcourant la planète en long en large et en travers, Bleubird a pris une longueur d’avance sur ses contemporains du hip hop. Coiffant autant la casquette du slameur que du mc, l'américain place la libre expression et le militantisme au coeur de ses propos. Evoluant seul sur scène, mais armé d'un flow imparable et d'un humour dévastateur, il sait captiver le public..., parfois même en réalisant d'étranges cascades...
Bleubird avance sous l’impulsion d’une seule idée : faire progresser le hip hop vers de nouvelles directions, comparables à celles que prennent Sole, Alias, ou encore Buck 65.
Rares sont les occasions d’exprimer, à grands renforts de hochements de tête, votre délectation devant un MC gonflé d’autant d’optimisme et d’amertume à la fois. En une rime, il endosse la verve politique de Noam Chomsky, la langue verte de 2 Live Crew et la fragile sentimentalité émanant d’un journal intime de fillette. Raf katigbak (Montreal Mirror)
En cette ère gangrenée par la guerre, la confusion et l’inertie, Bleubird débarque avec fracas, sans entraves, sans prévenir. Brandissant haut l’étendard de la rébellion, de l’intégrité et de la libre expression de soi, sa musique s’impose comme le reflet d’une existence menée au sein de la lutte; comme la bande-son d’un artiste qui s’évertue à nager à contre-courant sans perdre pied ni vendre son âme. Dissimulée derrière un masque d’étrangeté, la vraie nature de Bleubird apparaît limpide, tout à coup. C’est un homme qui n’a pas hésité à sacrifier sa vie sentimentale et sociale, sa stabilité au profit de la mission musicale dont il est investi. Il aime sa famille, craint pour son pays en perdition et parle de Dieu au féminin. Sonya Tomlinson (Portland Phoenix)
Vibrant de passion et d’intensité sur scène, ce drôle d’oiseau continue à écumer les salles de concert aux Etats-Unis, au Canada et en Europe. Les yeux toutefois rivés vers le Japon et l’Australie, où il compte bien se produire l’année prochaine. Il mène une éternelle vie de bohème, constamment sur la route, avec pour seul point d’ancrage Montréal (son lieu de résidence), où il fait escale pour enregistrer et s’adonner à une kyrielle de petits boulots en tant qu’homme-à-tout-faire professionnel. Puisant son inspiration dans un vécu plutôt haut en couleurs et dans une éthique de travail inébranlable, il cherche à faire réagir et à divertir des publics de tous horizons.
Il est animé par les sons progressifs, les idées progressistes et un besoin de changer les choses; il travaille aussi bien à partir de samples qu’avec des musiciens de chair et d’os venus des quatre coins du monde pour continuer à pousser la musique hors des sentiers battus. Bleubird est un rappeur, mais c’est surtout une sorte de rencontre au sommet entre Abbie Hoffman, Jello Biafra et Propaghandi... rappant, respectant la tradition tout en faisant fi des limites qu’elle impose, trahissant par un baiser. Un spectacle aux accents provocateurs, plein d’humour et de satire sociale, le tout concassé en vrac dans un paquet mal ficelé mais débordant de finesse et d’une indéniable énergie !
K-OHM (Electro Abstrakt / Fumel)
Inscrit dans une veine Electro-Ambiante, ce side-project fonde en 2003 par le machiniste de Solo Monkey se révèle aussi abrasif que mélancolique. Puisant son inspiration dans les rythmiques torturées de Amon Tobin et les nappes hypnotiques de Massive Attack, sa première démo Warm Up est très encourageante. Travaillant actuellement en collaboration avec plusieurs artistes il prépare un set live et son prochain ouvrage "Dadaism"...
www.myspace.com/interlope
www.myspace.com/bleubird
www.myspace.com/kohmmusic
22H00 - PAF : 10€ / 7€ adhérents de Staccato - Rens.: 05 53 83 05 02
www.myspace.com/interlope
www.myspace.com/bleubird
www.myspace.com/kohmmusic
22H00 - PAF : 10€ / 7€ adhérents de Staccato - Rens.: 05 53 83 05 02
