Samedi 26 Janvier
21h00 - Salle des Fêtes
Reconnu internationalement depuis sa rencontre fructueuse avec Nico (Drama of Exile 1 et 2) la muse du Velvet, il obtient aussi une reconnaissance appuyée dans le monde très fermé de l’électro underground londonien (1996) avec entre autre, Nasha en collaboration avec l'australien de Third Eye, Gus Till (Flying Rhino), sans oublier Simon Postford (Hallucinogen) avec Industrial Suicide Tribe et Jami Catto (Faithless). Son album Talisman, enregistré en 1996, est toujours d’actualité... Le titre Concrete Sunblock est devenu un titre phare du downtempo de nouveau sorti sur la compilation Illumination de Youth (Killing Joke) chez Liquid Design (2007).
Depuis son premier lp Rahmann, avec la participation notamment de Didier Lockwood, Louis César Ewande, Gérard Prévost et Guem (Polydor,1980-Muséa,1996-Belle antique/japon2012), comparé par la presse à Magma et Mahavishnu Orchestra, en passant par l’incroyable et essentiel 1001 Nights, disque pacifiste et unificateur (Erato/Atlantic 2000/Elektra-Nominé Awards RFI 2000, Songlines), Mad Sheer Khan poursuit son parcours pacifiste dans la lignée des années 70 rebelles dont il est issu.
De nombreuses rencontres avec Nico du Velvet Underground, Michael Hutchence (INXS), Sapho, Sting, Nilda Fernandez, Jean-Louis Aubert, Keziah Jones, Michael Riley et bien d'autres partages pendant lesquels Mad Sheer Khan a, depuis les années 1970, initié la venue des instruments traditionnels orientaux dans le rock (Buzuk fretless en 1975, Oud électrique solid body branché sur des Marshalls en 1980, Saz rock-métal en 1985, Sitar électrique solid body en 1987, Dobrositar en 1994 …, et travaillé à la realisation de plusieurs prototypes avec des luthiers tels que Jacobacci, Pierre Jaffret et Philippe Dubreuille...
Après le succès pendant 5 ans de tournée dans toute l’Europe du Samarkand Hotel Tour (Muséa/Nomad studio 2003), Mad Sheer Khan a enchaîné un nouveau tour en 2008 Rock the Roots, issu de l’album DemoNcracy. La presse notera :
"La meilleure transposition d’Hendrix jamais entendue à ce jour - Mondomix"
"Mad Sheer Khan abandonne alors la légende pour la réalité avec laquelle il semble avoir une sérieuse envie d’en découdre".
"Une superbe voix blues, un rock electro porté par des rythmiques afro-orientales. Un violon indien tantôt apaisé tantôt gallopant sur les territoires inexplorés du psychélique".
Avec Far Oued (Mai 2012-Muséa/Nomad) l’artiste français aux racines algero-persane mais au ramage mondial versant alter, nous surprend une fois encore par sa diversité et sa richesse : le son de la fraternité passé au filtre de l'universalité électronique, mêlé au souffle puissant de son fidèle Dilruba. A l'image de la musique des années 70, ouverte à l'improvisation, espace de partage..., il y aura encore du Fire dans l'air de Far Oued !
FAUSTER
Le Lot-et-Garonne est une terre de musique, c'est dans cette ambiance qu'est né Fauster, un duo d'amis passionnés de musique. Antoine Taquet et Dominique François, copains d'enfance, ont découvert ensemble les vertus de la musique. À l'âge de 15 ans, ils ont créé leur premier groupe avec leurs frères respectifs. Dominique au chant et au clavier, Antoine à la guitare et à la basse, le groupe a vécu de nombreuses expériences scéniques mais pour des raisons diverses, leurs routes se sont séparées. Chacun de leur côté, ils sont partis à l'aventure tout en gardant comme essence de vie : la musique. Antoine a fait la première partie d'une tournée de Francis Cabrel. Dominique, lui, a cherché sa voie dans des duos tels que Etc...Non Plus ou Les Originals. Seulement une force les attire l'un vers et l'autre et nos deux inséparables se retrouvent.
Bercés tout petits par toutes sortes de musiques et vibrant au son de la musique pop rock, c'est tout naturellement qu'ils s'orientent vers ce style avec comme référence les musiques essensiellement anglo-saxonnes The Police ou encore The Rolling Stones mais surtout l'emblématique groupe The Beatles. Les deux hommes composent leurs morceaux en mettant en commun leurs expériences vécues au fil du temps mais tout en gardant la folie de leur enfance. Cela donne un mélange de pop, de rock et d'électro parfois sensible et intimiste, pardois DanceFloor, teinté années 70/80. C'est en anglais qu'ils ont décidé de s'exprimer afin de proposer des morceaux soit pour s'amuser et danser ou d'autres plus sombres et intimistes. Un mélange détonnant dont les lignes mélodiques laissent des traces dans l'esprit de ceux qui traînent l'oreille.
Entrée : 12€ / 10€ / gratuit moins de 12 ans - Rens.: 05 53 83 05 02
