Miramont de Guyenne : THE SHELTERS, JOHNNY BOY, THE DEATH SET


SAMEDI 7 AOUT

dès 20H30 - Place Martignac

Le nouveau NAIN JAUNE !



L'historique bar miramontais LE NAIN JAUNE bouge de la rue Philippeau pour s'installer bientôt Place Martignac. Les gérants qui ne manquent pas d'idées, convient la population à une soirée pour le moins originale : une pré-Ouverture en musique, avec trois concerts gratuits proposés grâce à la complicité de Staccato !


THE DEATH SET
We go around the world and we do what must be done
Des Australiens aux USA. The Death Set vient de Baltimore, Maryland, en passant par Gold Coast, Australie, où Johnny Siera a rencontré le co-fondateur du groupe, Beau Velasco, en 2005.
Tous les deux attirés par la témérité musicale de l’autre, ils s’unissent pour écrire de brèves chansons aux mélodies boostées. Déterminés à enregistrer et faire des tournées,
The Death Set s’installent d’abord à Sydney, puis très vite à Brooklyn, et enfin à Baltimore où leur punk rock peut librement s’épanouir. Soutenu par l’arrivée du guitariste/vocaliste Peter O’Connell, le groupe se lance dans sa Worldwide escapade, accompagnant les tournées de Japanther, Best Fwends, Dan Deacon, Ponytail, Girl Talk, Bonde Do Role et Spank Rock. Alors que le son de The Death Set est proche de ses influences punk (Black Flag, Minor Threat et les Buzzcocks), d’autres apparaissent clairement dans la production : des marques de hip-hop et des formes électroniques.
The Death Set est un concentré de bonne humeur bondissante, qui verrait Oui Oui tomber dans une grosse marmite de speedball le transformant en Mad Max des pistes de danse. Un de ces groupes qui vous dessinent au fer rouge un large sourire hilare pour le reste de la soirée.
The Death Set a été élu meilleur groupe live par le Baltimore City Paper, et le magazine anglais NME les a même nommés the #1 biggest hope of the future. De quoi vous mettre l'eau à la bouche pour leur 1ère date française ! Yeah, jump around !

JOHNNY BOY
L’histoire ne retient souvent que 2 noms dans un groupe, généralement ceux qui composent...! C'est surement pour ne pas infliger l'anonymat à un bassiste ou à un batteur que Johnny Boy a choisi la formule duo et si l'histoire décide de les garder ce sera Nicky Larsen et Salo JR !
Mais dualité et ambiguïtés s'expriment aussi dans leur musique. Est-ce de la noise velouté, de la pop violente ? On pense en vrac aux Buzzcocks de Pete Shelley , Suicide d'Alan Vega, le One + One de Godard, Mean Streets de Scorsèse... forcement, Le Manifeste de Curnier, Permanent Vacation de Jarmusch..., mais les ont-ils lus, les ont-ils vus ? Peu importe, le fait est là : voici un groupe rock, léger comme un albatros, qui utilise des sonorités gigitales, sans idées préconcues. Les possibilités sont infinies !
Quatre d'existence depuis leur rencontre à Tours fin 2005..., plus de 170 concerts en France, Belgique, Allemagne, angleterre, Suisse et Russie..., des scènes les plus officielles aux plus underground..., en ayant partager l'affiche avec les Dead Kid (UK), The Rakes (UK), Huspuppies, Les Thugs, Sexy Sushi..., Johnny Boy se sent aussi bien à l'aise dans un squatt berlinois que sur la scène d'un gros festival ! Alors à Miramont !...
THE SHELTERS
Mélange de rock'n'roll et de pop anglaise sur un léger fond de funk, les agenais Mickey, Julien, Gabriel, Lucas et Léo, après quelques changements de line up, affiche une stabilité assez sereine pour envisager des compositions et des concerts... et c'est ainsi que commence l'aventure et que la machine est lancée depuis plus de deux ans ! Tellement bien lancée qu'ils viennent d'être sélectionnés au concours CQFD (Ce Qu'il Faut Découvrir) des Inrockuptibles, concours pour le moins prestigieux qui a fait connaître Stuck in the Sound, Cocoon, Syd Matters...
Remporteront-ils dans les six mois à venir l'énorme challenge d'aller enregistrer dans un studio à New York ?
Une soirée résolument rock'n'roll qui devrait marquer les esprits !
Entrée gratuite - buvette et petite restauration sur place